
Rédaction : Patrick Ndibwalonji Badibanga // Photos : Kim Sattler
Ce jeudi 2 novembre, la 8e édition du Festival International du Film de Comédie de Liège démarrait sur les chapeaux de roues. Conférence de presse, cérémonie d’ouverture et soirée avec DJ étaient au programme. Quatremille vous décortique la première journée de cet évènement qui durera jusqu’au 6 novembre.


« Que perdurent les salles obscures », a-t-on pu entendre plusieurs fois hier lors des différentes manifestations organisées pour le FIFCL. Le message est clair : les amoureux du 7e art ne sont pas prêts d’abandonner leur passion. Et quoi de mieux que la comédie pour perpétuer ce véritable patrimoine culturel de l’humanité qu’est le cinéma ! Du rire, du rire et encore du rire : tout un programme ! À l’heure où les conflits politico-économico religieux s’intensifient, le rire est plus que jamais de rigueur. Du rire, nous en avons eu avec Nathalie Baye qui n’a même pas remarqué son effigie sur l’affiche officielle du Festival lors de la conférence de presse. Du rire, nous en avons eu plus que de raison avec Thomas Croisière qui a magistralement animé la cérémonie d’ouverture en jouant avec nos sentiments ambivalents pour nos voisins français. Cependant, le FIFCL, c’est aussi de l’émotion. La standing ovation qu’a reçu Nathalie baye à son entrée sur scène avant la remise de son Taureau d’or en est un bel exemple. Que c’était beau, que c’était émouvant ! Et malgré son immense carrière et les nombreuses récompenses reçues, l’actrice ô combien talentueuse a su toujours garder son humilité, quelle dame ! Le FIFCL, c’est aussi l’occasion de découvrir des avant-premières comme le film Comme par magie diffusé après la cérémonie d’ouverture. Le FIFCL, ce sont également des rencontres comme celles de Kev Adams et Claire Chust, personnages principaux de Comme par Magie. Et le FIFCL, ce sont enfin les compétitions de longs et de courts métrages et les soirées au chapiteau situé place Cathédrale. Avec tout ça, qu’attendez-vous pour aller prendre vos places ? Il n’y aura peut-être pas pour tout le monde !



